Nos deux maîtres sont très très forts. il devient de plus en plus délicat de trouver des énigmes hors de leur portée à moins de proposer la pièce unique que nous avons seul en notre possession. Bon, on essaye avec ça ?
Commentaires sur Petit quizz samedical.
- motoprom MT
- Between the '70s and '80s, several prototypes of Dnepr powered by Wankel engines were realized! These bikes, never entered in production, were enginereed by the Vniimotoprom (Technical Institute for the Motorcycle Industry Research), in the city of Serpuchov, 70 km from Moscow. In the three pics up, one of the early prototypes (1974): the "RD-501B", with a single-rotor engine, 495 cc, the air cooling system with fan, and a max power of 38 hp/6300 rpm.
- Durant les années 1970/80 de nombreux prototypes de DNIEPR à moteur WANKEL furent construits. Ces machines, qui n'entrèrent jamais en production, étaient développées par l'institut VNIIMOTOPROM (rappelons qu'il sagissait d'un centre de recherche basé dans la ville de Serpuchov, à 70km de Moscou). Les premiers prototypes de 1974, la RD–501B à simple rotor pour 495cc, refroidissement à air forcé, développant 38cv à 6300tr/mn.
Voila le "Maitre " pour être complet..... - Pour t'étayer et de compléter Sapiensim ! La moto appartenait à un certain Yvan qui avait 20 ans en 1943. Il avait participé, au sein des forces soviétiques, à la bataille de Koursk du 5 juillet au 23 Août 1943, contre la division SS " Das Reich" qui était équipée de chars Tigre. Il fut blessé grièvement par un éclat d'obus près de Belgorod à la frontière de l'Ukraine, et à ce titre il obtint une pension militaire de blessé de guerre. Il vécu modestement, économisant rouble par rouble l'argent de sa pension, jusqu'en 1973, date à laquelle il put s'acheter cette belle moto. Il l'a conserva environ deux ans. Mais son ancienne blessure de guerre se réveillant , ne pouvant plus piloter sa moto, il fut contraint de la vendre. A qui ? me demanderas- tu.. et bien je te le donne en mille.. à l'oncle du mari de sa belle sœur ! Mais je vais m'arrêter là, car ça c'est encore une autre histoire...
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